La folie douce s’empare de l’Occident.
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Intersectionnalité, Privilège Blanc, politique raciale… les maux de l’Occident
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Peut-on gentiment faire remarquer que toutes les obédiences maçonniques ont soutenu le pacs, la lutte contre le fn (voir JMLP au second tour en 2002), etc ?
Les secondes classes suivent des chefs qui, eux, savent où ils vont.
Description d’un document interne au « godf » :
Ô Amine ! Ô lumineux défenseur du padommedepouvoirisme !
J’ai bien compris vos leçons : puisque qu’en notre temps, aux États-Unis bâtis par des lucifériens dont les héritiers d’Albert Pike, il y eut l’avion d’Epstein, c’est bien la preuve que lorsque ce saint homme dénonce et fait semblant de croire au droit de cuissage il dit vrai !
On pourrait dire peut-être que si un des artisans du monde où il y eut l’avion d’Epstein dénonce la même chose dans le passé, c’est bien qu’il calomnie un temps où ses semblables ne pouvaient pas se permettre ce qu’ils font aujourd’hui.
Ce serait n’être que le reflet de votre manichéisme.
Le vrai problème est que des abus permis par la puissance et l’influence ne sont pas l’exercice au grand jour d’un droit reconnu. C’est confondre la faute d’un individu et celle admise par un système : la première n’implique que son auteur, et n’engage la responsabilité de la société que si celle-ci ne fait rien pour rendre plus difficiles ces abus (comme on cherche à rendre moins fréquents les accidents de voiture – ou d’avion – sans espérer pouvoir supprimer tout risque). Un système qui reconnaîtrait ouvertement le droit aux puissants de violer, voilà ce que serait le droit de cuissage. Le reste n’est qu’un mensonge.
Vous prétendez qu’on ne connaîtrait pas de noms de victimes de puissants des temps passés : c’est de votre seule ignorance qu’il s’agit. Par exemple, on connaît des noms de victimes du marquis de Sade, violeur de femmes, d’hommes et d’enfants (et votre frère en maçonnerie et en pasdommedepouvoirisme), parce que le système de ce temps n’autorisait pas en théorie de tels abus. Et il ne s’agit que du cas d’un coupable parmi des milliers d’autres connus, prouvant combien vous errez.
Et si ce qui existait alors existe aujourd’hui, et en plus grand (on peut le prouver), c’est la preuve que les libertés individuelles accordées depuis ne sont pas à elles seules le remède suffisant à ce mal-là.
Saviez-vous que les empereurs romains, depuis le premier (Octave devint Auguste en – 27) jusqu’au troisième siècle n’étaient pas tenus pour des dieux de leur vivant ? Ils étaient vêtus comme de simples bourgeois, indiscernables de la foule à laquelle ils se mêlaient. L’un d’eux reçut un coup de poing lors d’une bagarre de rue. Ils furent d’abord les chefs du parti populaire, jusqu’à la décadence du troisième siècle. Ils étaient détestés de la « noblesse » (en fait la bourgeoisie) dont ils limitaient les abus de classe.
L’empire au troisième siècle était à vendre ; maints des empereurs ne furent alors que des fantoches, et le sort de la plèbe n’en fut que pire. Alors ils furent divinisés.
Vous êtes un grand adolescent, la tête pleine de stéréotypes de bédés et du ciné, donc de la culture du fric, et pour cela retombant sans cesse et aveuglément dans la répétition des mots d’ordre de la classe dirigeante.
Un gauchiste pro-fric en fait.
Comme tous les gauchistes.